Le titre Renault qui s’envole de +7% vers 36,75 € comble soudain – en quelques heures – l’intégralité de son retard sur Stellantis depuis le 1er juin (le gain hebdo dépasse à présent +7,5%, le titre devance largement Cagemini avec +4,2% ou Hermès avec +3,5%).
C’et la hausse que personne n’a vu venir, car aucune divergence haussière ne préfigurait ce départ canon.
Plusieurs hypothèses sont envisageables : l’amélioration des résultats de Nissan (qui part de très bas), un arbitrage dans le cadre d’une chasse aux valeurs sous-cotées… mais cette hausse pourrait surtout provenir du soulagement de certains actionnaires (initiés ?) qui redoutaient une éviction de Renault du CAC40 (le sort d’Atos semble de son côté scellé).