Les carburants ont franchi le cap des 2 €/litre à peu près partout, (sauf stations « discount ») mais ce n’est qu’un hors d’oeuvre puisque le baril de « Brent » vient d’atteindre 119,8 $ pour la première fois depuis mai 2012 et les 125 $ (du jamais vu depuis septembre 2008) pourraient être atteints d’ici ce week-end.
Du côté des métaux industriels, l’aluminium pulvérise un nouveau record à 3 650 $/tonne, le nickel flirte avec les 27 000 $/tonne (soit un triplement depuis début mars 2021). Songez à l’impact sur le prix d’une batterie standard (nickel/cadmium) de 300 kg d’une véhicule électrique.
En ce qui concerne les céréales, le blé vient de flamber de 40% en un mois 11,3 $ le boisseau.
La Russie et l’Ukraine représentent également 19% des exportations mondiales de maïs et 80% des exportations d’huile de tournesol. Là également, l’envolée des prix donne le tournis et cela « contamine » le prix de l’huile de palme en provenance de la Malaisie.
Toutes les « commodities » mentionnées ci-dessus sont produites en quantités colossales et en Russie : leur flambée enrichit donc la Russie de façon tout aussi colossale.
Il faudra faire la « balance » du coût économique réel des sanctions sur la Russie pour évaluer qui a le plus à perdre : l’Europe ou son principal fournisseur de matières premières et d’énergie ?
Eh, oui, il faudrait commencer a calculer la hausse potentiel du PIB Russe , 20% en plus? 30% en plus après démarrage complet, et avec un population heureux, gonflé au bloc, avec une hausse visible a l’œil nu du niveau de vie,enfin avec avenir pour tous sauf pour les gangsters, mais eux, ils ont Israel, comme c’était passé en Russie, une ampoule de 40 W pour le ouest de l’UK, »les « refugiés ne fuient pas la guerre dePutine mais la paix de Zelinsky, du bon fumier pour ONGs
Le peuple peut être coupable,puis merde .