La Rockefeller Foundation tombe le masque : on peut lire sur son site que l’apparition du nouveau variant Omicron en Afrique (il a été identifié en Afrique du Sud, rien ne prouve formellement qu’il soit apparu en 1er dans ce pays, comme la grippe « espagnole » qui provenait en fait des Etats-Unis) « résulte d’une forte circulation virale due à l’absence de large usage du vaccin au sein des populations » et préconise donc une campagne massive de vaccination sur ce continent.
Ils omettent de préciser que les mutations résultent justement du phénomène « d’échappement viral » (c’est pourquoi depuis 100 ans, on ne vaccine justement pas durant les pics épidémiques) et que d’autre part, c’est cette forte circulation initiale du virus qui a favorisé une immunisation collective qui fait que si peu de personnes sont « positives » aujourd’hui (le taux d’incidence reste étonnamment faible, tous les épidémiologistes le reconnaissent).
Les habitants du continent africain sont encore moins nombreux à être réellement malades et à décéder du Covid-19, sachant qu’un large usage des antiparasitaires classiques semble bien faire office de barrière au virus et à ses mutations.
La Rockefeller Foundation tire donc la conclusion qu’il faut vacciner massivement suite au télescopage de ces 2 réalités : des pays peu vaccinés ont un taux d’incidence très faible tandis que le Portugal (98,5% de vaccinés de plus de 25 ans) et Gibraltar avec 115% de taux de vaccination (en incluant la 3ème dose) connaissent la vague de contamination la plus spectaculaire depuis mars 2020.