Vladimir Poutine vient d’officialiser jeudi soir la nationalisation de toutes les entreprises occidentales ayant cessé leur activité sur le sol russe, ainsi que la saisie des banques occidentales et des actifs qu’elles détiennent
Renault devrait échapper à ces contre-sanctions. En effet, le constructeur qui emploie 40 000 personnes en Russie avait annoncé la veille la « suspension » temporaire (et non l’abandon) de la production des modèles Lada dans ses usines Avtovaz de Togliatti et d’Ijevsk (jusqu’au vendredi 11 mars à Togliatti et jusqu’au 18 mars sur son site de Moscou).
Renault invoque « des problèmes de logistique » (pas encore des pénuries) de pièces détachées, mais cela pourrait survenir rapidement.