La Bourse de Paris débute l’année en fanfare avec un gain qui a dépassé les 1,75%, pour un nouveau « plus haut » de 5.656Pts qui remplissait d’espoir les « Permabulls », car le CAC ayant perdu près de 7% l’an dernier, il était permis d’espérer un comblement – au moins partiel – du différentiel de -20% par rapport à l’indice mondial MSCI (+13% en 2020) et de -50% face au Nasdaq (+43%).
Le S&P500 s’est d’ailleurs empressé d’inscrire un nouveau record absolu de 3 770 points dès l’ouverture, ainsi que le Dow Jones à 30 675 points… et il s’en est fallu de seulement 0,1% pour le Nasdaq Composite, ce que le Nasdaq 100 a aussitôt compensé avec un nouveau zénith à 12 950 points, dans le sillage de Tesla avec 5% à 743$ (pour un nouveau record de capitalisation au-delà de 700 Mds$, parce que le constructeur a « presque » atteint son objectif de vente de 500 000 véhicules en 2020, grâce à une surprenante flambée des ventes au mois de décembre… avec l’arrivée des premières tempêtes de neige.
Autrement dit, on prend les mêmes et on recommence… on ne change pas une stratégie qui gagne à tous les coups, puisque tout le monde adopte la même !