Pendant des décennies, la découverte de médicaments a été un processus long et fastidieux. Sauver des vies, reste encore aujourd’hui une course contre la montre. Cela implique de la rapidité, de la précision et de l’urgence. Heureusement, l’IA entre désormais en jeu…
Cette année, je suis devenu une sorte de maniaque de l’hydromel : concocter la version parfaite m’obsède.
Préparer de l’hydromel, c’est comme remonter le temps.
Il s’agit d’un savoir-faire antique, d’un rituel qui s’est transmis de génération en génération.
On commence avec des ingrédients tout simples : du miel, de l’eau et de la levure. Si l’on devient un peu créatif, on peut ajouter des herbes. (Les Celtes intégraient à leur préparation des fleurs de bruyère, pour leurs vertus médicinales. Les Vikings utilisaient la reine-des-prés. Et les Grecs ? L’hysope. Et ainsi de suite.)
Mais la magie intervient dans l’attente. L’élevage de l’hydromel est lent. Il peut prendre des mois, voire des années. On ne peut pas précipiter les choses. Il faut laisser faire la nature, permettre aux parfums d’évoluer, de s’approfondir et de prendre de la maturité.
C’est ce processus, notamment, qui rend l’hydromel si spécial. C’est ce qui lui donne sa personnalité, son âme.
Mais soyons réalistes, peu de choses, dans la vie, doivent prendre autant de temps.
Certaines choses, comme sauver des vies, ne s’améliorent pas en les cachant dans un placard sombre et en attendant. Elles appellent de la rapidité, de la précision et de l’urgence.
Contrairement à l’hydromel, qui DOIT prendre son temps, la découverte et le développement de médicaments vitaux est un domaine où la rapidité compte énormément.
La moindre journée, la moindre semaine, gagnée dans le processus de découverte de médicaments peut avoir des conséquences vitales pour d’innombrables personnes.
Pendant des décennies, la découverte de médicaments a été un processus long et fastidieux.
Des chercheurs en blouse blanche, courbés sur des microscopes, tentaient de découvrir quelle molécule pourrait avoir raison de certaines maladies.
Cela se déroulait sur des années, parfois des décennies, et coûtait des milliards de dollars.
Et malgré tout, plus de la moitié de ces médicaments n’atteignait jamais les essais de première phase.
Mais aujourd’hui, l’IA entre en jeu…
La ruée vers la découverte de médicaments assistée par l’IA
Et cela n’a rien de marginal : cela commence déjà à prendre le pas. Les médias grand public n’en parlent pas, mais c’est bel et bien en train d’arriver.
Il est question de taux de réussite, lors des essais de Phase I, qui s’envolent de 63 % à une fourchette de 80 % à 90 %.
Notre confrère Ray Blanco qualifie ce phénomène de « ruée vers la découverte de médicaments assistée par l’IA ».
Et ce type de phénomène ne se produit qu’une fois par génération.
Notre devise, c’est que l’optimisme est payant. Nous allons suivre cela de très près. Le marché est énorme, et les opportunités commencent à se faire connaître…
Chris Campbell
Vous confondez « rites ou rituels » qui concernent le champ de Sacré où la Transcendance est présente , et le savoir des us et coutumes, de l’ordre du profane depuis la fin du moyen âge, et dont la Transcendance est absente.
Bonjour et merci Monsieur Campbell pour cette belle initiative sur la santé que je pense vous partagée avec Monsieur Blanco que je suis depuis plus de quatre ans,particulièrement dans les actions ayant un rapport à la santé.Il agit comme un vrai professionnel.Il connait les sociétés comme s’il était le chef des chercheurs ou le P D G ,et souvent sur place dans la société avec les données financières et les avancements des recherches.je me souviens d’une société qu’il avait suivi de près concernant la maladie d’alzheimer dont il croyait en une avancée relativement proche mais je pense qu’il a été déçu.je suivais moi aussi de très près cette société puisque c’est une maladie neurologique,et que moi j »ai une maladie orpheline neurologique :un T O P ;TREMBLEMENT ORTHOSTATIQUE PRIMAIRE qui est très handicapant que connait sans doute Mr BLANCO plus que mon docteur dont le role consiste à me fournir le duplicata de l’ordonnance d’un neuroloque pour obtenir un médicament le rivotril qui ne fait aucun effet.j’ en profite pour remercier toute l’équipe des PUBLICATIONS AGORA pour leur travail en profondeur, suivi et efficace ; mais ces qualitatifs sont un peu faibles peut etre que l’IA m »aiderait? HENRI MONEGER. CORDIALEMENT