Les Bourses occidentales accusent le coup, elles plient, mais ne rompent pas : -4% à Paris, ce n’est pire que certaines séances de début mars 2020.
A Wall Street, les pertes apparaissent relativement contenues à l’ouverture avec -1,5% sur le Nasdaq, -1,7% sur le S&P500 et -2,2% sur le Dow Jones.
C’est presque anecdotique en comparaison de la désintégration de l’indice russe « RTS » qui a chuté de -50,2% en séance jusque vers 610 points (contre 1 226 mercredi) et qui clôture en repli de -40% à 738 points.
C’est le krach boursier le plus dévastateur de l’histoire des 50 dernières années.
Les oligarque russes auront-ils le sang froid pour racheter au son du canon ce qu’ils ont vendu entre 1 600 et 1 900 points ces 4 derniers mois ?